Международная студенческая научно-практическая конференция «Инновационное развитие государства: проблемы и перспективы глазам молодых ученых». Том 2

Досій О.С., Суббота Т.М.

Дніпропетровський національний університет імені Олеся Гончара, Україна

L’INFLUENCE DES BANQUES TRANSNATIONALES SUR LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE DES PAYS DU MONDE

Une importante ligne du business moderne bancaire est l’activité active des banques transnationales qui étaient créés et ont reçu une large expansion dans la deuxième moitié du ХХ siècle.

Selon la méthode de l’ONU, les banques dont le volume des actifs est pas moins 2 milliards d’USD et qui ont le réseau personnel des filiales (pas moins que dans 5 États étrangers) sont considérées transnationales. Leur activité se caractérise par un haut poids spécifique des opérations internationales (plus de 50 %), la mondialisation dans le plan géographique, l’universalité des services.

Les banques transnationales sont les monopoles internationaux bancaires dont la jonction avec les monopoles industriels leur donne la possibilité de prendre part à la distribution économique du marché mondial des capitaux de prêt et des services financiers et de crédit.

En 2010 selon la cote de popularité des leaders des banques transnationales du monde à propos de la valeur de marché les institutions financières de la Chine sont les premiers. 30 des banques transnationales les plus puissantes du monde sont: 5 banques de la Chine, 6 – les États-Unis, 4 – la Grande-Bretagne, 4 – l’Australie, 3 – le Brésil, 3 – le Canada, 1 – l’Espagne, 1 – le Japon, 1 – Russie, 1 – la Suisse, 1 – la France [1].

À la base de cette cote de popularité il faut marquer qu’en 2010 parmi 30 institutions financières la plus grande part du capital constitue les banques transnationales de la Chine – 26 %, les États-Unis – 25 %, la Grande-Bretagne – 13 %, l’Australie – 9 %, le Brésil – 7 % et le Canada – 7 %.

Dans la pratique mondiale du point de vue de la présence des banques transnationales dans le système national bancaire on met en relief trois groupes des pays:

1) les pays développés dans les finances desquels on manque presque les banques étrangères. Ce sont tels pays auxquels la part du capital étranger dans le secteur bancaire n’excède pas 5-8 %: les États-Unis, la Suisse, le Japon, l’Allemagne;

2) les pays où le niveau de la présence des banques transnationales hésite de 15 à 80 %;

3) les pays où la propriété étrangère domine, c’est-à-dire les banques transnationales contrôlent entièrement le marché local des services bancaires (la Nouvelle-Zélande, la Jordanie, Bahrayn, le Botswana) [2, p. 46].

Il n’y a pas point de vue commun en ce qui concerne l’influence du procès de la transnationalisation du business bancaire sur le développement des systèmes bancaires des pays séparés. Parmi les avantages de la transnationalisation on peut appeler les suivants:

- la croissance de la transparence des secteurs bancaires et réels;

- l’élargissement des possibilités du système bancaire en ce qui concerne l’investissement au secteur réel;

- les réductions de la rentabilité des banques nationales, la croissance des réserves pour liquider des dettes douteuses et en conséquence l’augmentation de l’efficacité du système bancaire du pays d’accueil;

- les diffusions de l’expérience de l’utilisation des outils plus récents financiers, l’accélération des changements technologiques, l’augmentation du spectre et l’amélioration de la qualité des services bancaires sous l’influence de la compétition.

En ce qui concerne l’Ukraine on peut indiquer telles manifestations négatives de l’expansion par le capital multinational du marché national des services bancaires:

- la croissance de la mobilité du capital international bancaire augmente non seulement les chances de la réception des moyens d’investissements, mais aussi les risques de son reflux du moment plus défavorable pour l’économie, par exemple, quand la situation économique dans le pays change rudement. Ainsi, en 2009 la quantité des filiales des banques étrangères qui étaient fermés a fait 574. Les impulsions négatives du développement intense de la transnationalisation du business bancaire sont remises vite d’un pays à l’autre en provoquant alors l’effet du "domino" [3, p. 226];

- en créant une puissante compétition aux banques nationales, les banques transnationales les évincent du marché intérieur, sans donner la possibilité de se développer régulièrement (parmi 18 banques du premier groupe il y a 11 banques avec le capital étranger). L’expérience mondiale témoigne de ce que les avantages et les manques de l’élargissement de l’activité des banques étrangères sont équilibrés aux conditions de la suite de l’activité active des banques en place et la conservation de leur part considérable du système bancaire du pays [2, p. 48];

- les banques avec le capital étranger sont plus enclines à accorder les crédits seulement aux grandes compagnies en laissant le marché de détail de crédit et les compagnies avec la cote de popularité basse de crédit aux banques locales;

- il y a un risque de la redistribution des flux d’investissements au profit des entreprises avec le capital étranger, des secteurs commerciaux et de consommation qui influence négativement la reproduction des outils de la production à la base d’innovation;

- le système solide de la gestion corporative aux banques basé sur le modèle étranger et ne prend pas en considération les particularités du pays d’accueil, peut présenter la menace définie au système bancaire;

- en vue de la réalisation des plans stratégiques le capital multinational peut réaliser la pression considérable politique sur les pays d’accueil qui peut contredire les intérêts nationaux;

- il y a une menace de l’atteinte à la stabilité de la devise nationale à cause du déplacement libre du capital des banques transnationales;

- les institutions étrangères financières pénètrent dans les domaines liés à la sécurité nationale et ont la possibilité d’influencer négativement leur développement;

- le cosmopolitisme inhérent au capital multinational peut imposer l’idéologie qui contredit les intérêts du développement du business national [3, p. 260];

- les accumulations du capital à court terme peuvent amener aux changements structuraux dans l’économie;

- l’influence négative sur le système fiscal et de budgétaire à cause de la réduction des entrées fiscales, puisque les filiales dirigent le bénéfice à l’étranger;

- la menace constante de l’apparition "des bulles de marché" qui est provoqué par l’affluence essentielle du capital dans de différents segments du marché, qui contribue à sa surchauffe.

Le capital transnational possède la sensibilité excessive et la mobilité aux changements aux marchés internationaux. L’affluence du capital étranger au système national bancaire est possible seulement à condition qu’on se garde le contrôle du secteur financier par la législation nationale et par les organismes de surveillance et réglants. La plupart des pays du monde utilisent les restrictions définies en ce qui concerne la présence du capital étranger dans le système financier. Par exemple, le quota de la présence du capital étranger en Fédération de Russie fait 50 %, en Biélorussie – 25 %. Certains pays ont interdit l’affluence du capital étranger dans le secteur bancaire, à savoir l’Inde, la Chine (il y avait un moratoire introduit sur la présence des banques transnationales pour le délai de 5 années après l’entrée à l’OMC). Maintenant l’Inde et la Chine qui entrent dans le trois des meilleurs pays d’investissement du monde, attirent les investissements étrangers mais laissent en propriété du capital national tous les systèmes stratégiques infrastucturels, y compris le système bancaire [4, p. 14]. Ainsi, il est nécessaire de marquer que les procès de la mondialisation et la transnationalisation ne sont pas capables de remplacer les réserves intérieures du développement économique du pays.

La libéralisation et l’intégration du système national bancaire au marché international financier doivent être graduelle et contrôlé qui permettra d’utiliser les avantages des procès donnés aux plus petits risques [5, p. 257]. L’ouverture complète des finances nationales pour le capital étranger amène à sa concentration rapide. Le montant du capital multinational excède le potentiel du système bancaire du pays d’accueil en conséquence il y a un danger pour l’économie nationale. Le développement de l’économie acquiert le caractère dépendant, devient plus dirigé par les facteurs extérieurs.

Bibliographie:

1. Global bank ranking by market capitalization [Електронний ресурс] – Режим доступу: htpp://www.banksdaily.com/rus/topbanks2008.html.

2. Стубайло Т. Іноземний капітал у банківській системі України / Т. Стубайло // Світ фінансів. – 2008. – №2 (15). – С. 45-50.

3. Система економічної безпеки держави / під заг. ред. д.е.н., проф. А.І. Сухорукова; Національний інститут проблем міжнародної безпеки при РНБО України. – К.: ВД "Стилос", 2009. – 685 с.

4. Дзюблюк О. Розвиток банківської системи в умовах інтеграції економіки України у світове господарство і лібералізації міжнародного руху капіталу / О. Дзюблюк, Л. Прийдун // Світ фінансів. – 2008. – № 2 (15). – С. 8-19.

5. Клюско Л.А. Транснаціональні банки: позитивний вплив і негативні наслідки для національних банківських систем / Л.А. Клюско // Актуальні проблеми економіки. – 2010. – №8. – С. 257-264.